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mardi 25 octobre 2011

56,7 mds de dollars des exportations en 2010, Sonatrach revoit à la hausse son chiffre d’affaires


consolidé pour l’année 2010, rendu public mardi, Sonatrach précise que ses exportations de l’année passée s’élèvent à 56,7 mds de dollars contre 44,9 mds de dollars en 2009, soit une hausse de plus de 26%.
Il précise que ce chiffre d’affaires à l’exportation intègre aussi les reventes en l’état de produits pétroliers issus du rachat des droits des associés pour 0,6 md de dollars pour 2009 et 2010. En volume, les quantités d’hydrocarbures exportées en 2010 ont atteint 116,3 millions tonnes équivalent pétrole (Tep), en légère baisse de 2% par rapport à l’exercice 2009.
Sonatrach a en revanche maintenu dans son rapport annuel, approuvé par son conseil d’administration, le montant d’investissements avancé en juillet à 14,4 mds de dollars, en évolution de 11% par rapport aux réalisations de 2009. L’essentiel de ces investissements, soit 10 mds de dollars, a été réalisé dans l’amont pétrolier, notamment dans le forage des puits d’exploration et de développement.
En 2010, la part des associés du groupe dans le partage de production s’est chiffrée à 3,93 mds de dollars, soit le même niveau que celui de 2009. La taxe sur les profits exceptionnels (TPE), prélevée sur les bénéfices de ces associés quand les cours de brut dépassent les 30 dollars le baril et reversée au Trésor public, s’est élevée à 1,6 md de dollars.

Élargissement du Commonwealth à des États non anglophones La candidature de l’Algérie examinée


L’Algérie est-elle en passe de rejoindre le Commonwealth ? Selon Andrew Mitchell, secrétaire d’État britannique au Développement, sa demande d’adhésion vient d’être examinée, au même titre que les candidatures d’autres États comme la Somalie, le Yémen et le Sud-Soudan. L’élargissement du Commonwealth à de nouveaux membres exprime le désir des autorités du Royaume-Uni de revigorer cette organisation, délaissée par l’ancien gouvernement travailliste, et la placer au cœur de la politique étrangère britannique. Le secrétaire d’État au Foreign Office, William Hague, qui vient de se rendre en Algérie, soutient l’élargissement du club des anciennes colonies de l’empire britannique à d’autres pays, comme le nôtre. La Grande-Bretagne ne voit pas d’inconvénient, en effet, à accueillir au sein du Commonwealth, des États non anglophones. 



Salon international des énergies renouvelables à oran : Les assises d’une révolution énergétique


Pays pétrolier et gazier, dont les gisements de Hassi R’mel, de In Salah ou les ports de Bethioua ou Skikda sont connus à l’échelle planétaire, l’Algérie a également pris de sérieuses options dans les énergies renouvelables pour les mettre au service du développement socioéconomique avec, toutefois, une dimension environnementale et écologique encore plus marquée avec ce recours aux énergies propres.
Le visiteur du Salon international pour la promotion des énergies propres essentielles au développement durable, que la ville d’Oran a abrité durant trois jours, s’en est bien rendu compte puisque une quarantaine d’entreprises algériennes, qui activent dans ce nouveau secteur , y étaient alignées. Certes, même si le point d’orgue de ce salon était la promotion des investissements et l’encouragement au partenariat, ce salon a aussi grandement contribué à faire connaître les expériences des pays participants dans leur utilisation de ces énergies propres. De nombreux experts et chercheurs algériens, dont certains sont venus des wilayas de l’Est et du Centre à leurs propres frais, ont fait le déplacement pour «voir»… Preuve, si l’en est, de l’importance pour le potentiel intellectuel algérien d’une manifestation pareille.

«En Algérie, la question est de savoir si le pays est structurellement apte à absorber en investissements productifs ses excès de réserve»


La question de la rentabilité des placements de fonds souverains est-elle centrale pour l’Algérie ? Procédons par comparaison. En Europe, comme pour l’ensemble des pays de l’OCDE, le placement de fonds souverains en bons du trésor ne correspond pas tout à fait à la même logique que celle des pays comme l’Algérie, la Chine ou la Russie par exemple. Le défaut de paiement étant principalement lié aux « risques pays », il y a longtemps que les pays de l’OCDE ont bien compris qu’il était plus utile, pour attirer des fonds, des capitaux et des investissements étrangers, de consolider leur gouvernance par une stabilité politique juridique et administrative.
Autrement dit, leurs investissements en bons du trésor correspond davantage à une constitution de réserves prudentielles (assurantielle en quelque sorte). Généralement, leur montant correspond à environ 9 à 18 mois de leur besoin en financement public. Le rendement de ces fonds est important, mais ce n’est pas le plus important car il s’agit, pour ces pays stables, de placements à très long terme dans des pays dont le défaut de paiement est quasi nul (donc à faible risque de dégradation significative à long terme). En ce sens, je rejoins l’analyse qui consiste à insister sur le fait qu’à très long terme ces titres ont de fortes chances de s’apprécier, et même de contribuer par leur caractère prudentiel à doper l’économie des pays apporteurs de fonds souverains. Ceci, bien évidemment, doit être relativisé par le théorème de l’« équivalence ricardienne » qui établit, sous certaines conditions, une concordance entre l’augmentation de la dette publique à un moment « T » et l’augmentation des impôts requise dans le futur pour le remboursement de cette dette et le paiement des intérêts qui y sont associés.



«La démocratie est la condition de la sécurité nationale»

Pour instaurer une vraie démocratie en Algérie, l’orateur définit trois conditions sine qua non. Il plaide d’abord pour «la transformation de l’essence de la gouvernance en prenant en considération le citoyen». «Il faut revoir aussi la structure de la participation politique à la fois partisane et civile. Il faut également développer une culture de la performance politique au sens de l’appropriation des droits économiques, sociaux et culturels des citoyens», souligne-t-il. L’Algérie, affirme-t-il, est encore loin de satisfaire à ces exigences.

Le directeur du CRSS estime qu’il est nécessaire de transformer le système de gouvernance en passant, indique-t-il, «du système de la démocratie procédurale à un système de démocratie délégataire». «Je crois qu’il est de la responsabilité de tout un chacun d’être conscient de deux choses : la première est que la stabilité du pays dépend du triptyque citoyenneté-développement-démocratie ; la deuxième est que la démocratie est la condition essentielle de notre sécurité nationale», lance-t-il.



Alger incontournable


Editorial par : Omar Ouali
Depuis le début de la fin du régime de Kadhafi, en février, les relations entre l’Algérie et les nouvelles autorités libyennes sont réduites à des accusations récurrentes du CNT, reprochant à Alger de voler au secours de l’ex-“Guide” de la Jamahiriya, et des démentis successifs de notre ministère des Affaires étrangères.

Avec le recul, on s’aperçoit nettement que cette controverse, sans fond au demeurant, est sciemment entretenue par des parties intéressées qui entendaient ainsi marginaliser, voire neutraliser le rôle d’Alger dans l’équation libyenne. Les mois qui viendront seront certainement riches en révélations sur les non-dits de cette brouille préfabriquée pour les besoins de la cause.


Programme blanche Algérie Lancement de 20 projets


L’initiative est louable eu égard à la dégradation avancée du cadre de vie, encore faut-il qu’elle soit conjuguée au sérieux et à la continuité.

Chapeautée par le ministère de la Solidarité nationale et de la Famille, en étroite collaboration avec les services de la wilaya, l’opération a, pour l’heure, été expérimentée dans cinq communes: Sétif (10 chantiers), El Eulma (4), Bir El Arch (2) et autant de projets à Aïn Arnat et Salah Bey. Composé de 8 agents dont un chef de chantier, le groupe est spécialisé dans la protection de l’environnement et du cadre de vie du citoyen. Pour l’illustration, les 10 chantiers de Sétif sont répartis sur différentes zones où ils ont donné un grand coup de fouet au paysage des espaces investis.


Dans l’optique de création de microentreprises par des jeunes chômeurs âgés entre 18 et 40 ans, le dispositif «Blanche Algérie» initié pour la création de petites entreprises spécialisés dans l’amélioration du cadre de vie du citoyen et l’assainissement des cités et quartiers des villes, voit le jour du côté des hautes plaines sétifiennes où 20 projets sont lancés dans un premier temps.

dimanche 23 octobre 2011

JOURNÉES CULTURELLES FRANÇAISES À TLEMCEN


Un concert de jazz manouche à l’ouverture


Après le report de la semaine culturelle de la Syrie, sans qu’aucune explication n’en soit fournie, le palais de la culture d’Imama de Tlemcen a accueilli vendredi en soirée, Diégo Colas, ministre conseiller auprès de l’ambassade de France à Alger, qui a inauguré les journées culturelles françaises, en présence de Abdelhamid Belblidia, coordinateur de la manifestation “Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011”, et représentant de Khalida Toumi, ministre de la Culture, ainsi que des directeurs des centres culturels français d’Alger, d’Oran et de Tlemcen. 

Le public était nombreux pour assister au concert de jazz manouche, animé par quatre musiciens (violon, guitare, contrebasse, accordéon) lesquels ont interprété les vieux succès de Georges Brassens, Edith Piaf ou encore Charles Aznavour. Ce style de musique témoigne des apports stylistiques des musiques gitanes et d’Europe centrale ainsi que du musette et de la chanson française dans le jazz.  Avant le concert, MM. Belblidia et Colas ont prononcé chacun une allocution pour louer l’intérêt d’une telle manifestation qui contribue au dialogue des cultures. 

Présence et représentation de la femme (Théâtre). Une longue émergence


Les chercheurs, qui ont écrit sur les débuts du théâtre algérien, ont soutenu, à juste titre, qu’il fut extrêmement difficile aux femmes d’exercer le métier de comédienne.


Ceux qui méconnaissent les réalités socioculturelles de cette époque pourraient en déduire que cela fut aisé pour les hommes. Pourquoi pas, puisque faute de comédiennes, ces derniers se permettaient de se travestir malgré la tyrannie des tabous machistes ?
La réalité fut plus relative. Quelques témoins et acteurs de cette époque, déjà si lointaine, sont encore vivants pour en témoigner. Habib Réda tenait, face à Keltoum, le rôle du jeune premier au sein de la troupe Bachetarzi. Voilà ce qu’il nous confiait : «En fait, à l’époque, c’était une honte pour les familles que d’avoir parmi les siens un ''aâjajbi'', un clown, au sens péjoratif du mot. Mon père n’aurait jamais accepté une chose pareille. J’ai dû le bluffer, mentir pour faire du théâtre.



Ghribia aux noix


pour 20 ghribia
80 ml de smen
80 ml d’huile sans gout
50 gr de sucre glace
50 gr de noix finement moulus
300 gr de farine
20 cerneaux de noix
Vanille

préparation
Battre le smen et le sucre glace a l’aide d’un batteur électrique, pendant au moins 20 minutes, jusqu’à ce que le mélange soit mousseux (c’est le secret de la réussite de la ghribia).
ajouter l’huile, la vanille, ensuite rajouter les noix moulus et bien mélanger.
incorporer la farine par petite quantité et mélanger délicatement pour ramasser la pâte.
Rajouter de la farine si vous voyez que la pâte colle a vos mains.
Préchauffé le four a 160 degrés.

Culture : EXPOSITION L’art pictural de Tipasa s’invite à Blida


La semaine passée, avait eu lieu à Blida le vernissage des tableaux de plusieurs artistes peintres, dans le cadre du Salon national des arts plastiques dédié à la promotion des arts et des activités culturelles au profit de plusieurs wilayas et aux œuvres de plus de 40 artistes plastisticiens venant notamment d’Alger, Tipasa, Bordj-Bou-Arréridj, Constantine, Sétif, Batna, Annaba et Ghardaïa. 

Ce Salon organisé par l’Etablissement pour la promotion des arts et des activités culturelles s’est déroulé du 11 au 21 octobre au niveau du centre culturel Djilali-Bounaâma de Blida et avait convié plusieurs artistes peintres de la wilaya de Tipasa à présenter leurs œuvres picturales. Lors de l’ouverture de la manifestation, on notait la présence de plusieurs artistes peintres de renom, dont M. Arroussi, le président de l’Union nationale des arts culturels, ainsi que celle des autorités locales. La wilaya de Tipasa était représentée par les artistes peintres, Abderrahmane Bekhti et Mme Imekraz Saliha. Cette dernière a présenté des œuvres calligraphiques et des peintures abstraites.

Pour sa part, Abderahmane Bekhti, le doyen des artistes peintres de Tipasa a exposé des œuvres monumentales, à l’instar de Harraga, œuvre qui évoque le désespoir des jeunes et leur rêve pour un monde meilleur. M. Bekhti a aussi présenté l’Africaine, qui évoque la dimension de la femme africaine, son courage et sa beauté et Romance et Amour épinglé, traitant de l’affection, du chagrin d’amour, de la déception et de l’attente de la femme. Alger était représentée par Zoubir Hallel, un peintre de l’abstrait, alors que Sétif l’était par la jeune artiste Hadia Souad ; Mlle Labasi Meriem, un prodige du pinceau, représentait Constantine. 

Source : lesoirdAlgerie.com / Larbi Houari

Frontière, paysage, patrimoine, un projet photographique


Frontière, paysage, patrimoine, un projet photographique
Jeudi 10 novembre à 10h au Département d’architecture de l’USTOL’archéologie des paysages, images de renouvellements urbains, ce projet de recherche photographique en trois mots « frontière, paysage, patrimoine » visite des temporalités en Proche, Moyen Orient et Arabie et interroge l’histoire de la représentation de territoires par l’image : la richesse iconologique et la question de la vision photographique des pays traversés, de l’Egypte du Nil, villes coloniales d’Israël et d’Erythrée, zones frontières du Jourdain, villes de Cis-Jordanie, aux rivages de la Mer Morte à la mer Rouge.Des questions entre esthétique et politique sont abordées par ce projet tout autant photographique qu’éditorial … Eléments biographiques sur Corinne Peuchet :Elle a grandit en ville nouvelle des années 70, ce qui a orienté son parcours autour de « plus de rapport au sol », a étudié l’histoire des arts, des patrimoines et l’archéologie nationale et proche et moyen-orientale à l’Ecole du Louvre et à l’Université de Paris I.


Le : 10/11/2011

A partir de : 10:00

Lieu : Centre Culturel Français d'Oran
112, Rue Larbi Ben M'hidi

Source : kherdja.com

30e Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue,Participation algérienne avec Le Dernier Passager


Le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue a dévoilé la programmation de sa trentième édition. L’événement aura lieu à Rouyn-Noranda du 29 octobre au 3 novembre 2011. «Le vendeur» de Sébastien Pilote sera présenté en ouverture. Le réalisateur Mounes Khammar honorera l’Algérie avec la présentation de son court métrage «Le Dernier Passager ».

Cette année, le Festival présentera 23 longs métrages, 58 courts ou moyens métrages – dont 42 animations – en provenance de 25 pays, dont l’Algérie, l’Allemagne, le Brésil, la Corée du Sud, l’Égypte, l’Estonie, la France, le Liban, les Pays-Bas, la Pologne, la Suède et le Venezuela. Cette programmation audacieuse présente 27 films primés et 29 premières : huit mondiales, neuf nord-américaines, cinq canadiennes et sept québécoises.
Né du rêve et de l’audace de trois ardents cinéphiles, Jacques Matte, Louis Dallaire et Guy Parent, le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue ne cesse d’étonner par son succès grandissant.

vendredi 21 octobre 2011

NOUVELLES RÈGLES POUR LA RÉALISATION DES 2 MILLIONS DE LOGEMENTS. Assainissement du secteur du bâtiment


«La participation des entreprises publiques (du bâtiment) aux différents programmes du secteur ne dépasse pas les 4%.»
«L'Etat est en droit d'exiger de ces entreprises plus d'implication et une meilleure qualité dans la réalisation eu égard aux efforts consentis par les pouvoirs publics pour leur assainissement et leur restructuration», a indiqué, avant-hier à Alger, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme Noureddine Moussa. S'exprimant lors d'une réunion avec les responsables des EPE relevant de la SGP-Indjab, le ministre a appelé les entreprises affiliées à la société de gestion des participations de l'Etat SGP-Indjab à «une meilleure implication» dans la réalisation du Programme national de construction, notamment des 2 millions de logements. A ce titre, le premier responsable de l'urbanisme a précisé qu'une opération d'assainissement, qui entre dans le cadre de la relance du secteur du bâtiment, a été initiée par les pouvoirs publics en direction des entreprises structurées et affiliées à la SGP-Indjab pour un montant de 21 milliards de DA. Et de poursuivre: «qu'un programme d'investissement de l'ordre de 25 milliards de DA a également été initié en faveur de la SGP-Indjab pour l'acquisition d'équipement de production et d'engins pour la réalisation des plans de charge de gré à gré, portant sur la réalisation de 29.500 logements».
Il s'agit, selon le ministre, d'un investissement de reconstitution des capacités des entreprises, qui peut se traduire selon les besoins par l'acquisition de technologies nouvelles et de procédés et systèmes constructifs adaptés aux besoins du plan de charge. A ce sujet, il est indiqué qu'un fonds de roulement doté d'un capital de 4 milliards de DA a également été mis en place pour les entreprises de la SGP-Indjab. S'agissant, de la participation des entreprises publiques (du bâtiment) aux différents programmes du secteur, le ministre a soutenu «que ce dernier ne dépasse pas les 4%. Notre objectif est de porter ce taux à, au moins, 10%», a-t-il ajouté, estimant, dans ce contexte, que toutes les contraintes ont été levées, notamment avec la mobilisation des assiettes foncières nécessaires pour l'exécution des programmes inscrits. 
Par ailleurs, Noureddine Moussa a souligné que «le marché de la réhabilitation du vieux bâti devrait également constituer une priorité pour les entreprises qui sont appelées à «s'organiser pour se lancer dans ce créneau». Sur un autre chapitre, le ministre «a mis l'accent sur l'importance de la planification et l'exécution des projets de développement urbain dans le cadre de la concertation», appelant les bureaux d'études à veiller à assurer «un cadre bâti cohérent et harmonieux, répondant aux exigences de la qualité et à la diversité de fonctions».
 Source : L'expressiondz.com / 

LES INTEMPÉRIES FONT DES VICTIMES. Un mois d'octobre particulièrement diluvien


De nombreuses régions du pays ont vécu ce mois d'octobre au rythme des bulletins BMS de l'Office national de la météorologie.
Des orages continuent à s'abattre sur quelques régions du pays et font encore des victimes. D'importantes précipitations ont affecté ce week-end la wilaya de Skikda. Des pluies torrentielles à El Harrouch et Zerdeza (Skikda) ont causé la disparition de deux personnes.

Deux femmes sont, en effet, portées disparues à la suite de pluies diluviennes qui se sont abattues dans la soirée de jeudi sur la zone de Oued En'sa, dans la commune d'El Harrouch (30 km au sud-ouest de Skikda), signale un officier de la Protection civile.
Le lieutenant Khamis Aouadech a précisé que 19 personnes ont pu être sauvées après avoir été secourues par les éléments de la Protection civile près des localités de Zerdeza et d'El Harrouch, tandis que les recherches d'autres victimes, conduites par le directeur de wilaya de ce corps constitué et appuyées par quatre plongeurs, se poursuivaient encore à une heure avancée de la nuit de jeudi à vendredi.

Il faut dire que les pluies subites de ce mois d'octobre auront été particulièrement dévastatrices. Elles ont sévi dans diverses localités du pays. Au début du mois, les intempéries qui ont affecté le Sud algérien ont fait une dizaine de victimes à El Bayadh (700 km au sud-ouest d'Alger), selon un bilan officiel. «Nous déplorons dix cas de décès et deux disparus», avait déclaré le wali d'El Bayadh Selim Semmoudi. Les équipes de secours ont retrouvé les corps de trois personnes âgées de 3 à 17 ans emportés par les crues d'un oued, a précisé la Protection civile.

Des délégations défilent à l’aéroport Houari-Boumediene. L’eldorado algérien pour sauver l’Europe


La course en vaut la peine puisqu’il s’agit «d’arracher» une part de la cagnotte de 286 milliards de dollars que l’Algérie met sur le tapis
La prospérité des banques étrangères installées en Algérie est l’élément décisif qui pousse celles-ci à se ruer sur l’eldorado algérien.
La Grande-Bretagne, l’Espagne, le Portugal, l’Autriche, la Fédération de Russie, en plus des pays traditionnellement présents en Algérie comme la France et l’Italie, se bousculent à l’aéroport d’Alger. L’Europe est en crise financière aiguë, c’est la course vers cette niche algérienne qui paraît subitement comme l’un des recours les plus intéressants à ces pays en butte à de graves difficultés économiques. La course en vaut la peine puisqu’il s’agit «d’arracher» une part de la cagnotte de 286 milliards de dollars que l’Algérie met sur le tapis pour les quatre prochaines années. «Quand j’entends parler de l’Algérie je pense d’abord au pétrole, au gaz. Mais cette fois-ci, notre pays veut avoir sa part dans les projets en Algérie car nous avons des difficultés financières» a confié Adrian Croft, journaliste à l’agence britannique Reuters News, qui a accompagné le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, dans son périple à travers l’Afrique du Nord. 

Salon international des énergies renouvelables à Oran


Polonais, Allemands et Hollandais intéressés par le marché algérien



La 2e édition du Salon international des énergies renouvelables, des énergies propres et du développement durable (ERA 2011) a ouvert ses portes, hier, au Palais des expositions (Emec) de M’dina J’dida, à Oran. Plus de 70 exposants nationaux et étrangers prennent part à cette manifestation économique et scientifique organisée par l’agence Myriade Communication.


Ainsi, du 19 au 21 octobre, des professionnels se retrouveront à l’ERA 2011 pour trouver des réponses aux questions liées à l’évolution des contextes réglementaire et fiscal, des technologies, des métiers et des savoir-faire dans le domaine des énergies propres et renouvelables. L’ERA 2011, qui s’étend sur une superficie de 7 000 m2, se décline en quatre espaces dont la grande nouveauté par rapport à 2010 est l’espace relatif aux organismes de formation et des institutions dont l’objectif est de répondre aux besoins en matière de formation ou de recrutement de compétences. Des organismes financiers sont également présents pour répondre aux jeunes entrepreneurs pour le montage de leurs projets dans le domaine des énergies nouvelles.

“Cette aptitude se consolide et se réaffirme en 2011 : l’Algérie se dote d’un ambitieux programme de développement des énergies renouvelables sur 20 ans pour porter à 40% la part du solaire et de l’éolien dans la production d’électricité”, selon le représentant du ministère de l’Énergie et des Mines. Dans ce cadre, 65 projets seront mis en œuvre. Compte tenu de la tendance actuelle et de sa spécificité, ce Salon des énergies propres et renouvelables et du développement a drainé beaucoup de monde dès le 1er jour de son inauguration. MM. Blaszczyk et Jaroszewicz, respectivement ministre polonais de l’Environnement et chargé d’affaires à l’ambassade à Alger parlent franchement de coopération bilatérale dans les domaines de la gestion de l’eau et des déchets. “Nous sommes ici pour travailler ensemble à l’effet de concrétiser une lettre d’intention entre les deux ministères de nos pays respectifs.”

Fin de la grève des cheminots


Il a fallu cinq jours de grève, qui a paralysé l’ensemble du trafic ferroviaire, et des milliers de voyageurs abandonnés sur les quais des gares, pour qu’enfin la direction générale de la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) et la Fédération nationale des cheminots décident d’entamer des négociations, qui ont débuté hier matin.

C’est au siège de l’entreprise que le directeur général, Mourad Benameur, et les représentants des travailleurs se sont retrouvés pour mettre fin au conflit et trouver une solution à la principale revendication des travailleurs : l’octroi des rappels sur les échelons calculés à partir de septembre 2009. En fin d’après-midi, la direction générale a répondu favorablement à cette revendication suite au feu vert du conseil d’administration. Le protocole d’accord signé entre les deux parties prévoit le règlement sur deux mois (novembre et décembre) de la totalité des rappels des travailleurs. En fin de soirée, les deux parties annonçaient la fin de la grève et la reprise du travail.
Les ampoules de la gare d’Alger n’aiment pas la pluie
C’est à la gare d’Alger vide et incroyablement calme, mercredi matin, que nous avons rencontré Sara, Mohamed, Kamel, Salim et une dizaine d’autres cheminots en grève depuis trois jours. Ce qu’ils réclament ? Un rappel de salaires de seize mois. Mais ils insistent : «Nous avons une seule et unique revendication.» Même si ce ne sont pas les aléas qui manquent dans les gares. Cela commence au guichet, Kamel en sait quelque chose. «Je suis agent de guichet aux chemins de fer depuis trente-six ans et mon salaire de base ne dépasse pas les 23 000 DA. En travaillant à la gare, nous devenons des automates : arriver quotidiennement à la même heure, répéter inlassablement les même gestes et faire toujours les mêmes tâches avec les soucis.» Pour ce salaire, les guichetiers doivent gérer les voyageurs mécontents. 



Selon le ministre du Tourisme,Près de 650 hôtels en cours de réalisation


Smail Mimoune a annoncé que près de 650 hôtels privés d’une capacité de 75 000 lits sont en cours de réalisation.
Le ministre a souligné dans une allocution que la concrétisation de ce projet d’investissement qui entre dans le cadre du Plan directeur d’aménagement touristique devrait coûter quelque 4 milliards de dollars.
Le ministre a également indiqué qu’une opération de mise à niveau du secteur du tourisme touche actuellement 61 hôtels d’un coût de 1 milliard de dollars dans le but d’améliorer la qualité des infrastructures touristiques de manière à les hisser au niveau international.
A ce propos, il a appelé d’une part, à encourager et à soutenir l’investissement dans le domaine du tourisme et d’autre part, à la promotion du produit touristique algérien par une participation soutenue et efficace dans les salons et expositions organisés à l’étranger.
Source : Algérie630.com / Loubna H.

Extradition de la famille de l’ex- guide libyen,L’Algérie dans l’embarras ?


La question de l’extradition des membres de la famille du colonel Mouammar Kadhafi, qui se sont réfugiés en Algérie, va se poser avec acuité après la mort de l’ex-Guide libyen, jeudi dernier, dans sa ville natale de Syrte.


Cette épineuse question sera certainement au centre des discussions entre une délégation du Conseil national de transition (CNT) libyen, qui effectuera une visite en Algérie dans les tous prochains jours, et les autorités algériennes. Tout porte à croire que les nouvelles autorités libyennes vont, à la faveur de cette visite, dont la date n’est pas encore connue, présenter une demande officielle d’extradition des membres de la famille de l’ex-Guide libyen.
Une demande qui mettrait incontestablement les autorités algériennes dans l’embarras. L’Algérie, depuis l’arrivée de ces hôtes encombrants, a donné l’impression d’être fort embarrassée par cette donne. Dans les multiples déclarations, les officiels algériens ont indiqué que l’accueil des membres de la famille de Kadhafi s’explique par les raisons humanitaires.


jeudi 20 octobre 2011

Christianisme, Islam: plus d'un millénaire de coexistence


Conférence : Christianisme, Islam plus d'un millénaire de coexistence


Le : 24/10/2011

á partir de : 17:00

Lieu : Centre Culturel Français Annaba
8 Bd du 1 Novembre 1954 23000 Annaba

Christophe, 57 ans, a été ordonné prêtre de la Mission de France en 1980. Il est diplômé de l’Institut pontifical d’études arabes et islamiques (PISAI) à Rome. 


Envoyé en équipe avec d’autres prêtres de la Communauté Mission de France, il a vécu neuf ans en Egypte. En 2006, il a été nommé Directeur du Service national pour les relations avec l’islam et la Conférence des évêques de France.

Tajine pommes de terre Viande hachée

ingrédients
Pour un moule de 26 cm de diamètre il vous faut
1 kg de pomme de terre
300 gr de viande hachée
4 cuillères à soupe de jus de citron
4 gousses d’ails râpées
Sel
Poivre
4 cuillères à soupe d’huile d’olive
Noix de muscade
4 cuillères à soupe de crème fraîche
2 œufs
200 gr de fromage râpé
Huile pour friture

Archéologie : 60 sites méconnus à Souk Ahras


Pas moins de 60 sites et monuments archéologiques «jusque-là méconnus» viennent d’être répertoriés dans la wilaya de Souk Ahras par une équipe mixte d’archéologues algériens et italiens, a indiqué hier un chercheur du Centre national de recherche en archéologie (CNRA).

L’opération d’inventaire, qui se poursuit depuis septembre dernier, est menée par 15 archéologues algériens et italiens dans le cadre d’un projet commun liant le CNRA à l’université italienne de Trente portant sur l’élaboration d’une carte archéologique de l’est algérien, a précisé Kamel Meddad, également chef  de cette mission. A Souk Ahras, l’opération constitue le prolongement des travaux réalisés en 2009, a ajouté le même spécialiste, précisant que les travaux de l’équipe mixte ont touché les localités de Ouled Driss, M’daourouch, Taoura et de  Dréa.  Les sites répertoriés sont pour l’essentiel des fermes composées de demeures des propriétaires et de pressoirs d’olives ainsi que des tours de  contrôle de la période byzantine découvertes à Aïn Djoumia près de la ville de Taoura.
Source : El Watan

CONFÉRENCE À AÏN TÉMOUCHENT “2 000 ans d’histoire de l’Algérie”




Des hommes d’histoire et de culture seront au rendez-vous le 31 octobre prochain pour assister à une importante conférence intitulée ‘‘2000 ans d’histoire de l’Algérie’’ qui sera animée par le professeur universitaire et membre de l’académie militaire de l’aviation Hacène Sohbi. Organisée par la fondation Émir Abdelkader section de Aïn Témouchent, cette manifestation culturelle et historique qui coïncide avec la célébration du 57e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale se déroulera au niveau de la bibliothèque Malek-Benabi. 
Lors de son intervention qui sera suivie par une assistance variée composée en partie par des écoliers le conférencier, documents inédits et authentiques à l’appui, s’étendra sur le parcours révolutionnaire de l’Émir Abdelkader fondateur de l’État moderne algérien et son influence sur le déclenchement de la guerre de Libération du 1er Novembre 1954. Le conférencier mettra aussi en exergue la période post-indépendante de l’Algérie. En marge de cette manifestation, le grand public découvrira lors d’une exposition prévue dans une aile de la bibliothèque plusieurs documents de valeur puisés dans les archives du mouvement national, une collection de timbres-postes, de cartes postales illustrant la ville de Aïn Témouchent période 1890-1962, ainsi que des manuscrits et autres correspondances de grande portée historique de l’Émir Abdelkader ainsi que des armes utilisées durant la période de résistance contre l’occupant. 
Source :Liberté / M. Laradj

Le CNT annonce officiellement la mort de Mouamar Kadhafi

Un porte parole du CNT a annoncé officiellement la mort de Mouamar Kadhafi. Pour sa part Al Jazeera a montré des images de Kadhafi .


Source : Algerie360.com

Air Algérie : Augmentation de 20 % du salaire de base de l'ensemble des personnels


Une augmentation de 20 % du salaire de base de l'ensemble des personnels de la compagnie aérienne Air-Algérie a été décidée à la faveur d'un accord signé entre la direction et le syndicat UGTA de l'entreprise.

L'accord porte également sur le réajustement de la prime de soutien à la production (PSP) et la prime complémentaire forfaitaire (PCF) au profit de près de 7.000 agents du personnel au sol, indique mercredi un procès-verbal  ayant sanctionné une réunion de travail, tenue mardi, entre les représentants du syndicat UGTA de l'entreprise et la direction générale d'Air Algérie.
"L'objet de la réunion a porté sur la signature d'un accord collectif, relatif à la proposition du P-DG de la compagnie, validée par une résolution  du Conseil d'administration du 3 octobre 2011 concernant une augmentation du salaire de base de l'ordre de 20 % au profit de l'ensemble des personnels de  la compagnie", est-il mentionné dans le procès verbal signée par le P-DG de  la compagnie et le secrétaire général du syndicat.

La France commémore le cinquantenaire en force mais pas officiellement


Paris, 17 octobre 1961. Les Algériens de France sont sous le coup d'un couvre‑feu imposé par les autorités. En riposte, mais surtout pour demander l'indépendance de leur pays, près de trente mille d'entre eux, hommes, femmes et enfants, sortent pacifiquement dans les rues de la capitale française à l'appel de la Fédération de France du FLN. La répression, commanditée par Maurice Papon, alors préfet de police, est extrêmement violente : des milliers d'arrestations, des centaines de manifestants tués, jetés à la Seine et de nombreux blessés. Le bilan officiel est de trois morts et 64 blessés. Le bilan réel se situe probablement autour de 200 morts, voire plusieurs centaines, selon l’historien Jean‑Luc Einaudi qui a publié en 1991 La bataille de Paris.