À l’heure de la crise économique, le marché algérien ne cesse de faire des émules parmi les pays européens les plus touchés par cette crise. Le Portugal en fait partie. Et la visite effectuée hier à Alger du ministre d’État, ministre des Affaires étrangères portugais, Paulo Portas, n’a pas d’autres objectifs que celui de courtiser les autorités algériennes, en vue de dénicher des parts du marché et, par ricochet, sauver ses entreprises, au bord de la faillite.
“Aujourd’hui, le marché algérien représente une respiration, un oxygène pour nos entreprises (…)”, a, en effet, déclaré hier le chef de la diplomatie portugais, en conférence de presse conjointement animée avec Mourad Medelci. Précisant, sans donner de chiffres, que “les exportations du Portugal vers l'Algérie durant les sept premiers mois de l’année étaient déjà supérieures au total de l’année dernière”.
M. Portas révèle, en outre, que le marché algérien représente pour le Portugal “notre deuxième marché au monde, après l’Angola”. Se montrant réceptif et soucieux d’aider ce pays à surmonter sa crise, M. Medelci qui, de son côté, s’enorgueillit de voir le marché algérien s’élargir contrairement à plusieurs marchés dans le monde qui connaissent plutôt un rétrécissement, juge que le Portugal a “des capacités remarquables”, même s’il reconnaît qu’il “traverse une zone de turbulences sur le plan économique”.
M. Portas révèle, en outre, que le marché algérien représente pour le Portugal “notre deuxième marché au monde, après l’Angola”. Se montrant réceptif et soucieux d’aider ce pays à surmonter sa crise, M. Medelci qui, de son côté, s’enorgueillit de voir le marché algérien s’élargir contrairement à plusieurs marchés dans le monde qui connaissent plutôt un rétrécissement, juge que le Portugal a “des capacités remarquables”, même s’il reconnaît qu’il “traverse une zone de turbulences sur le plan économique”.
Parfaite transition pour annoncer la mise en place d’un groupe de travail “qui aura pour mission d’identifier les autres secteurs dans lesquels nous pouvons faire avancer nos opérateurs et identifier des mécanismes de soutien à ces opérateurs qui ne sont pas encore disponibles et qui pourraient venir en complément des mécanismes existants”. Pour M. Medelci, ce groupe permettra d’“apporter un plus à la facilité que trouvent les opérateurs économiques portugais en Algérie, et nous nous réjouissons de leur présence de plus en plus régulière et surtout de plus en plus durable”.
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